*Caché sous un heaume d'un métal inconnu sur les terres d'argent, une bête venait de sortir de l'ombre. Celle-ci était prédestiné a faire couler le sang et la discorde.*Un doux matin de printemps, deux amoureux du monde d'argent ce gambadais dans les prés de Baduk, loin d'imaginer ce sur quoi ils allaient tombé la journée leurs semblaient être la plus belle de toutes.
Quand ceux-ci arrivèrent devant un puit qui dénotait sur le paysage alentour, ils en étaient intrigué. Intrigué par ce mal-être qui en découlait, soudain un grondement jailli du puits.
Quelques tremblements plus tard, les pierres recouvrant le trou profond éclatât laissant place a une couler de lave qui mettra fin aux jours heureux des deux tourtereaux.
Lentement la lave ce dissipât et une bête féroce en sortit, nous venions d'assister a la naissance de Glaucès, fils des flammes de l'enfer.
Les villages ce mirent a brûler un à un, les crânes tombèrent a en daller une allée digne des grands rois.
Rien ne pouvaient arrêter la bête mais un jour, un alchimiste a la tunique des plus attrayante l'interpella. Celui-ci savait que Glaucès avait un goût prononcé pour les breuvage décuplant la force.
L'alchimiste tendit alors une fiole d'une couleur enivrante de curiosité. Glaucès attrapât la fiole et d'un coup d'un seul il bût le breuvage.
Il ne fallût pas cinq minutes pour que la bête s'écroula sur le sol.
L'alchimiste enferma Glaucès dans un tombeau ou il ne pourrait en sortir !
Le temps passe et la paix demeura sur les terres d'argent.
Mais, certains tueurs aimaient encore faire régner le sang et la discorde.
Un jour de froid, dans la vallée de boudok un grondement fît réveillé le volcan dormant.
Volcan qui par une magie noir était liée a Glaucès le réveilla également, dans une rage monstre celui-ci jurât de ce venger du peuple de ces terres et de les terrasser tous autant qu'ils sont !
Sortit de sont volcan il ce baladât dans la terres de boudok où il rencontrât un drôle de barbare avec qui la chasse fût un réel plaisir a partagé ! Il s'agissait de Neu².
C'est alors que Glaucès s’aperçut que ce barbare avait sû bien s'entouré.
Un jour Glaucès glissa une lettre dans la taverne des bandits.
A vous bandits de baduk ! J'aimerais beaucoup joindre mes crânes au vôtre !
Vous trouverez en moi un excellent compagnon d'aventure avec qui picoler et fendre des têtes !